Les bonnes raisons pour renforcer le processus d’onboarding

4%, c’est le pourcentage de salariés qui quittent leur travail après une première journée de travail ratée. Face à ce constat, les entreprises qui ne possèdent pas de processus d’intégration construit doivent réagir. A ce jour, trouver de nouveaux collaborateurs s’avère une tâche très complexe pour les employeurs et responsables des ressources humaines. Surtout, quand ils disposent d’une certaine expérience et technicité dans un domaine particulier. Une fois le recrutement effectué, de nombreuses entreprises négligent l’étape de l’intégration du nouveau collaborateur.

Cependant, certaines entreprises prennent conscience de l’importance du processus d’onboarding. Dans un recrutement, l’intégration joue beaucoup plus que l’on ne pense. L’onboarding c’est à la fois l’accueil et l’intégrité des nouveaux recrus. Il est essentiel que la recrue s’immerge totalement dans son environnement de travail.

L’intégration des nouvelles recrues : un sentiment d’appartenance très important

L’intérêt de l’onboarding réside dans le fait que le collaborateur est très rapidement efficace et performant dans son travail mais aussi qu’il se sent intégré et considéré. Le sentiment d’appartenance permet de conserver le collaborateur pour une longue durée dans l’entreprise et évitent des frais relatifs à un départ tels que coût de recrutement, salaires, formation, matériel etc.

Onboarding ou l’atterrissage en douceur dans l’entreprise

C’est précisément le début de l’expérience collaborateur pour les nouveaux recrus. C’est-à-dire que dès le premier contact avec l’entreprise, avant même d’être recruté, le candidat doit être bichonné. Un bon accueil physique à l’occasion de l’entretien de recrutement, un bon accompagnement même pour les candidats non retenus sont les prémices d’une expérience collaborateur réussie.

Cette démarche est tellement importante qu’elle inclut déjà des pratiques RH fondamentales. Car en accueillant une nouvelle recrue, plusieurs défis RH se posent déjà.

Pourquoi soigner son onboarding

  • Etre opérationnel

Le marché n’attend pas. Sa logique est implacable. Pour cela, les nouveaux collaborateurs doivent être opérationnels. Et au-delà de leurs compétences intrinsèques, ils doivent rapidement comprendre les valeurs et la culture de l’entreprise. Etre autonomes pour être productifs.

  • La clé pour fidéliser ses talents

L’intégration devient un enjeu stratégique pour fidéliser les talents et ne pas réduire à néant les efforts de recrutement. Les premiers instants d’un salarié sont cruciaux et déterminants pour la suite de la collaboration. La fidélisation des talents est la capacité d’une organisation à magnétiser les meilleurs contributeurs en déployant une vision, un management inspirant et humain et en offrant des possibilités d’apprendre en continu dans un cadre de travail sain.

Les enquêtes RH montrent en effet que près du quart des salariés quittent l’entreprise 45 jours seulement après leur recrutement ! Fidéliser ses talents devient, alors, une obligation.

  • Une meilleure expérience collaborateur

Cette étape est bien souvent déterminante pour une expérience collaborateur positive. Pour fidéliser un collaborateur, il faut lui permettre de vivre la meilleure expérience. Lui donner le meilleur cadre et les meilleures conditions de travail.

L’Onboarding d’un nouveau collaborateur commence bien avant le jour J et est déterminant de l’engagement dont ce dernier saura faire preuve. C’est la première étape de la construction d’une expérience collaborateur seine et durable.

 

 



Roeya ZOUARI

Rédactrice WEB

 

5 astuces à connaitre sur les méthodes de vente d’aujourd’hui !

Depuis une vingtaine d’années, la révolution digitale a bouleversé les techniques de vente. Pour vendre, il faut un savant mélange de techniques de vente et de qualités commerciales du vendeur : enthousiasme, intelligence situationnelle, persuasion, etc. Pour les commerciaux, dans la majorité des environnements on constate une inflation et une complexification des offres à vendre.

Un bon commercial ou vendeur est souvent exposé à un client ou un prospect dont le fichier de prospection a été exploité, il doit être en mesure de maitriser toutes les techniques de performance.

L’art de la vente c’est le fait d’être capable de persuasion et non pas de manipulation.

Voici 5 méthodes de vente efficaces à connaitre pour devenir un top vendeur :

Préparation à l’entretien commercial

La préparation du plan de vente est une étape cruciale de votre démarche commerciale. Elle vous permet d’avoir tous les arguments de vente en tête, ainsi que les informations concernant votre prospect ou client afin de cibler au mieux votre stratégie.

La fidélisation des clients

Pour fidéliser les clients, il ne suffit pas d’étaler vos produits, de proposer des services. Pour que cela fonctionne, vous devez dans votre méthode de vente, soigner la qualité de vos services, répondre aux exigences et aux attentes de vos clients.

  • L’importance de l’écoute active

Écouter son prospect, c’est le fait de se concentrer sur ses besoins, lui donner une attention particulière sur ses besoins et ses exigences. Cette écoute est nécessaire, car votre prospect met souvent un certain temps avant de vous livrer les informations primordiales pour la vente.

Et on voit dans l’écoute active un moyen, de développer une relation commerciale intime et productive.

Un bon argumentaire

Une bonne technique de vente serait de privilégier l’échange et la découverte du client, mais non pas dans le but de vendre à tout prix, mais plutôt de créer une relation de proximité authentique avec son prospect, c’est pour cette raison, que le contact humain est primordial.

Pour convaincre votre prospect, vous devez mettre en avant le besoin de changement, qui est ancré en toute personne. La plupart des méthodes de ventes doivent être innovantes. Il est primordial que votre argumentaire soit personnalisé et adapté à votre client et votre discours et vos techniques commerciales correspondent au contexte, aux besoins et aux motivations d’achat de votre client.

  • Le terme « Parce que »

C’est la technique la plus forte pour persuader une personne, car elle permet de justifier des actions. Vous pouvez utiliser « parce que » dans tous les contextes pour améliorer la puissance de votre demande.

Pour que votre démonstration de vente soit au top, il vous faut connaitre votre produit sur le bout des doigts.

  • Le succès d’une vente repose sur la maitrise de votre offre.
  • Il faut connaitre les faiblesses de votre offre pour préparer des réponses éventuelles aux objections du client.

Si vous connaissez votre produit et maitrisez votre offre, cela rassure le client. Il vous faut aussi connaitre les offres de vos concurrents pour augmenter vos chances de vente.

Les motivations du client

Plusieurs critères doivent être pris en compte afin d’encourager l’acte d’achat et de mettre en place des arguments sur la vente. Parmi les meilleures méthodes de ventes, vous devez chercher à cerner les motivations du client est un moment où vous donnez au client un sentiment de domination. Vous ne cherchez pas à vendre et à mettre en avant votre marque, mais à le faire acheter.

Pour développer la relation client, vous devez voir les points suivants comme la sécurité, l’estime de soi, le changement, le confort et l’ouverture du vendeur.

Définissez votre cible

Si vous essayez de faire votre place sur un marché hautement compétitif, il peut être une bonne idée de vouloir engager vos efforts de manière progressive. Choisissez un segment spécifique pour limiter les coûts et la concurrence et ainsi poser les bases de votre activité et de votre réputation. L’organisation de votre prospection s’en verra facilitée et vous pourrez toujours étendre vos efforts plus tard pour gagner encore plus de parts de marché.

Vous pouvez par exemple vous concentrer sur une gamme de produits ou sur une zone géographique spécifique.

  • Communiquez sur les réseaux sociaux

Aujourd’hui les marques doivent être présentes sur les réseaux sociaux. Mais, il faut savoir bien les utiliser ! Exemple : animez régulièrement avec des infos qui peuvent intéresser les clients.

  • Mettre à profit son contenu web

En proposant du contenu qualitatif sur votre blogue d’entreprise, sur les réseaux sociaux ou encore par le biais d’une newsletter pertinente pour vos cibles, vous allez amener vos prospects à s’intéresser à votre entreprise. Par ailleurs, toujours dans cette stratégie de développer votre image de marque, le contenu web va vous permettre d’adapter votre discours en fonction de ce que les acheteurs recherchent.

  • Bâtissez un site internet efficace

Aujourd’hui la plupart des consommateurs commencent par faire un tour sur Internet avant de se décider dans leurs achats. Alors concentrez vos efforts sur la réalisation d’un site Internet simple et efficace.

Conclusion

La sympathie du commercial est tout aussi une part de motivation du client à continuer avec vous. C’est pour cela que l’écoute active joue un rôle essentiel dans les méthodes de vente.

Seuls une réactivité efficace et des efforts de veille réguliers vous permettront de toujours être prêts dans la conquête de nouvelles parts de marché. Soyez efficaces et imaginatifs !

 

 



Roeya ZOUARI

Rédactrice WEB

 

7 compétences clés du leader de demain !

Dans un monde où les talents sont devenus le premier capital d’une organisation, la réflexion sur ce qui constitue un leadership efficace dans le contexte actuel de transformation des entreprises sera primordial. Il est évident que nous vivons dans un monde extrêmement changeant, de plus en plus dynamique et défiant. Les grands défis de demain passent par la performance, l’acquisition et le développement d’une série de compétences et d’aptitudes.

Cette complexité se reflète également dans le milieu des entreprises, en constante évolution.

  • Quelles seront les qualités et compétences les plus recherchées chez les leaders de demain ?
  • Comment développer l’efficacité du leadership à l’ère des Talents ?

Dans une ère complètement digitale : Développer une culture plus humaniste

De nombreuses études indiquent que toujours plus de collaborateurs affirment que la réussite sur le lieu de travail dépend de leur niveau de satisfaction et de joie de vivre.

Alors que la technologie peut entraîner une fragmentation, une accélération, voire une dépersonnalisation des activités de l’entreprise, il est important d’instaurer une culture qui valorise et exige le respect des préoccupations, des ambitions et des styles de travail des individus.

  • De l’humilité

L’humilité est la clé de l’intelligence collective. Garder une opinion modeste de sa propre importance et être disposé à écouter et à apprendre de tout ce qui se passe dans l’environnement mondial.

  • Communiquer avec clarté

Une des compétences de leadership les plus demandées aujourd’hui et à l’avenir est la capacité à communiquer de façon efficace et avec clarté. Les bons leaders savent articuler leurs idées de façon fluide et sont enclins à écouter les autres. L’écoute active est indispensable pour obtenir la motivation des employés et prendre la meilleure décision.

Le but d’une discussion n’est plus d’avoir raison ou de rechercher l’information, mais de créer et renforcer une relation authentique.

  • Grandes capacités d’innovation : Adaptation au changement

Dans ce monde bouleversé où la digitalisation est de plus en plus dominante. L’exercice du leadership oblige à donner de l’importance à l’innovation dans tout domaine et à comprendre que le véritable risque est dans la non-innovation. Il est demandé aux leaders de mettre en œuvre de nouveaux projets et d’apporter de nouvelles idées, de façon à ne pas stagner et être un moteur de changement au sein de l’équipe.

Le leadership positif : Motivation et ouverture d’esprit

La capacité à motiver est une compétence de leadership très impactante. C’est une qualité fondamentale chez tout bon leader, nécessaire pour pouvoir atteindre les objectifs et mener à bien les tâches. Un dirigeant efficace doit non seulement partager sa vision de l’avenir, mais également faire confiance à ses collaborateurs afin de mieux les préparer aux défis de demain.

Sans motivation, l’équipe tombe dans l’inaction !

L’empathie

Le futur leader doit, avant tout, être un inspirateur. Afin de partager une vision et essayer d’atteindre un objectif commun, le leadership gagnant doit faire appel aux émotions et devenir une source de motivation, exigeant pour cela le respect des autres, l’empathie et la défense d’idéaux.

Une agilité indispensable

L’agilité constitue une valeur clé dans une période de changements, où il faut savoir prendre des décisions rapides fondées sur des principes solides. Le leader de demain devra faire preuve d’agilité pour affronter les imprévus et les oppositions. C’est celui qui sera capable d’anticiper les risques auxquels il peut être confronté et de faire preuve d’une grande flexibilité pour les résoudre.

Construire une culture du feedback

Un leader performant ne doit pas être fermé aux contributions des autres. Il est important de vérifier l’impact de ses décisions sur son équipe et sur l’ensemble de l’organisation. Il peut ainsi travailler sur ses domaines à améliorer et obtenir un feedback sur son leadership, de façon à perfectionner ses plans d’avenir et la relation avec ses collègues.

Intelligence collective 

Avec le développement des nouvelles technologies de l’information, l’intelligence collective prendra de plus en plus de poids. Le leadership de demain visera de plus en plus la promotion de cette intelligence collective.

  • Soft skills

En effet, les compétences sociales ou « soft skills » seront vues comme l’une des aptitudes les plus recherchées. Ces compétences sont les aptitudes à persuader et convaincre les autres pour atteindre les objectifs. Le leadership aura catégoriquement besoin de ces compétences étant donné que la maîtrise de ces soft skills deviendra une valeur indiscutable pour l’entreprise.

Fidéliser et garder les meilleurs talents

La réussite de votre entreprise est à l’image des gens qui y travaillent. Les grands leaders qui ont créé des entreprises prospères ont en commun de s’être entourés d’employés talentueux, courageux et loyaux. Attirer des gens formidables et cultiver une culture positive, en privilégiant la confiance dans l’équipe, pour être compétitif sur le marché.

Dans sa 12ème édition et sur la thématique : « Leadership, gouvernance et culture de la performance », le salon HR Expo se tiendra les 20 et 21 février 2019, pour la première fois à la Cité de la culture. Ça sera un lieu d’échanges des leaders nationaux et internationaux du secteur des ressources humaines et un espace de rencontres pour de nouvelles opportunités professionnelles et estudiantines.

A cette occasion, Advyteam Academy participera à ce salon pour présenter ses différentes formations, notamment des formations pour parfaire les compétences des leaders.

Pour plus d’information, veuillez nous-contacter sur academy@advyteam.com ou sur le numéro 56 76 10 00.

 

 



Roeya ZOUARI

Rédactrice WEB

 

Cultiver la culture de performance au sein de l’entreprise !

Dans un environnement digital de plus en plus complexe et concurrentiel, la gestion des talents est plus que jamais devenu un élément clé pour de nombreuses entreprises. Aujourd’hui, la motivation est un élément déterminant au regard du taux d’engagement des salariés. Pour être performants, ils doivent être motivés.

Des salariés heureux sont des salariés performants. Il va de soi que le bien-être au travail est un facteur majeur de productivité. Comment instaurer une culture du bonheur ?

La motivation, moteur de performance collective

Dans un monde numérique, les dirigeants, les responsables de Ressources humaines, les managers doivent faire de la motivation une préoccupation de tous les jours. Sans motivation, pas d’action, pas d’innovation, pas de résultats et donc pas d’avenir pour l’entreprise.

Nombreux sont encore les salariés qui travaillent dans une ambiance lourde et n’ont de ce fait aucun plaisir à être ensemble (Risque d’absentéisme, Turn-over). Ce constat ne va pas dans le sens de la performance à long terme.

La culture d’entreprise doit aller dans le sens de la convivialité, l’échange et le partage. Ainsi, les moments collectifs et conviviaux, comme des afterworks, des séminaires, café à volonté, permettent de créer ce dynamisme, source de performance pour rendre les offres d’emploi attrayantes et attirer de nouveaux talents dans leurs équipes.

Bien-être et reconnaissance au travail : fort sentiment d’appartenance

Cohésion et esprit d’équipe sont à la base du bien-être au travail et la clé de l’excellence. A une époque où la compétitivité et la quête de la performance sont devenues un leitmotiv. Là se situe l’enjeu difficile et permanent du responsable d’équipe de répondre à ce besoin nécessaire du « bien vivre ensemble ».

De nombreuses études indiquent que les entreprises dotées d’une véritable raison d’être et d’un ensemble de valeurs culturelles clairement défini sont plus performantes. Le « sentiment d’appartenance » est étroitement lié aux actions que réalise l’entreprise pour entretenir son image interne, et à la façon dont elle est gérée.

Séduire et fidéliser les talents : un enjeu clé du management RH

Les valeurs de l’entreprise permettent de définir sa culture.  Celle-ci se révèle être majeure pour le recrutement, la fidélisation des talents et la performance d’une entreprise. La culture d’entreprise reste un argument important pour les entreprises désirant attirer de nouveaux talents. En mettant en avant leurs valeurs, leurs codes, leur culture propre, les employeurs cherchent à séduire et fidéliser les talents par la différenciation.

Le bonheur au travail, une culture à valoriser

Bien que les collaborateurs n’ont pas les mêmes besoins, objectifs, préférences et personnalités, il est primordial d’indiquer que le respect, l’équité des traitements, la responsabilisation, le fait de se sentir apprécié ou encore réaliser un travail utile et intéressant sont les principaux ingrédients du bonheur au travail.

Recruter des salariés avec des valeurs communes 

Il est essentiel d’avoir une base de valeurs communes afin d’entretenir ces bonnes relations et d’éviter les conflits, surtout contre les différentes générations. Les entreprises devront prendre en compte la manière de créer une culture ouverte qui fonctionne pour tout le monde.

Le climat social dans une entreprise

Le climat social peut se définir par le niveau de satisfaction qu’éprouvent les salariés d’une entreprise sur leur lieu de travail. Plus le climat social est bon, plus les salariés seront motivés et performants.

La rémunération : son engagement est récompensé par des augmentations ou des primes.

L’ambiance : le responsable met en place les moyens pour entretenir une atmosphère de travail apaisée.

L’évolution de carrière ou le statut : le salarié doit pouvoir multiplier les expériences au sein de l’entreprise, changer de poste, renforcer et diversifier ses compétences et s’adapter aux changements.

L’esprit de compétition : Certaines entreprises encouragent l’innovation en organisant des compétitions. Le but est de présenter un projet complet, innovant, qui respecte les principes sociaux et environnementaux du développement durable.

S’exprimer librement et sans barrières : valoriser le côté humain !

Trop de dirigeants ont tendance à négliger le contact humain, pensant à tort que les réunions permettent d’établir et d’entretenir le lien avec les collaborateurs. En effet, les conversations en face à face offrent au manager l’occasion de mieux connaître ses collaborateurs.

Chacun est libre d’exprimer un besoin ou une idée d’innovation, quel que soit son service ou sa fonction. Les collaborateurs peuvent échanger avec le supérieur hiérarchique. Cette démarche favoriserait le sentiment d’appartenance, en plus du recueil d’idées créatives.

L’enjeu : mettre l’expression individuelle au service de la responsabilité collective.

Esprit d’équipe : un moteur de réussite

On ne peut véritablement parler de cohésion dans un groupe que si ses membres prennent plaisir à être ensemble et s’ils collaborent et agissent ensemble pour atteindre un objectif commun. On ne peut ignorer que derrière chaque réussite personnelle se cache souvent un important travail d’équipe.

Les dirigeants sont conscients de l’importance d’une culture positive qui implique l’ensemble des équipes, et des effets concrets sur la productivité et la rentabilité.

Il faut cultiver l’entraide, la confiance, l’esprit d’équipe et être attentif aux besoins de ses collaborateurs.

Pour un climat social optimal, soignez votre culture d’entreprise !

 

 



Roeya ZOUARI

Rédactrice WEB

 

Les soft skills pour se démarquer

Les dernières évolutions du monde du travail ont favorisé l’apparition de nouvelles pratiques, mais aussi de nouvelles compétences, notamment les « soft skills » qui se traduisent par « compétences comportementales » ou « savoir-être ». Ces compétences sont les qualités humaines et relationnelles acquises de façon informelle et propres à la personnalité de chaque individu. En effet, elles suscitent de plus en plus l’intérêt des entreprises.

Pour être performant au travail, les seules compétences techniques « hard skills », qui sont prouvées avec des certificats ou encore des diplômes, ne suffisent plus. Aujourd’hui, les recruteurs sont de plus en plus attentifs aux compétences comportementales. Le relationnel est essentiel au bon fonctionnement d’une entreprise. Il est certes indispensable de rechercher des profils qui disposent de toutes les compétences techniques exigées par un poste, mais il est important également que les candidats possèdent des compétences relationnelles.

Quels sont les soft skills les plus utiles ?

  • L’empathie
  • La créativité et la curiosité
  • Respect de l’éthique de travail
  • La souplesse organisationnelle
  • Loyauté et fiabilité
  • Les bonnes capacités d’adaptation
  • Attitude positive et motivation
  • Capacité de travailler sous pression
  • Qualités de communication
  • Les capacités en matière de collaboration

Ce sont des compétences particulièrement appréciées par les recruteurs dans la mesure où ils sont à la recherche de candidats pouvant maintenir un cap malgré les aléas du quotidien, et capables de gérer leurs missions, et ce même dans le cadre d’une situation critique induite par des facteurs extérieurs.

Comment travailler ses soft skills ?

Dans un marché d’emploi en profonde mutation avec la révolution numérique et l’impact de l’Intelligence artificielle sur les métiers, les qualités relationnelles arrivent en tête des soft skills les plus recherchés. Elles ont un rôle crucial pour assurer la cohésion au sein des équipes et renforcer la culture de l’entreprise.

D’habitude, les recruteurs sélectionnent évidemment leurs candidats sur la base de leurs CVs, leurs compétences techniques et leur motivation. Ne confondons pas les compétences personnelles, humaines et relationnelles avec les compétences techniques. Les soft skills, ou les compétences interpersonnelles, émotionnelles et communicatives, jouent un rôle de plus en plus impactant.

Pour quasiment tous les métiers, il est important d’avoir ces compétences douces. Cependant, elles sont plus recherchées dans certains secteurs comme les ressources humaines, le commerce, le marketing et le domaine IT.

Dans un article publié en avril 2018, 60% des entreprises déclarent avoir du mal à recruter un profil technologique, une proportion qui monte à 85% dans les fonctions R&D. Tel est l’un des constats principaux de l’étude « People in Tech » publiée par Tech In France, le syndicat professionnel de l’industrie du numérique, et le courtier Apollo Conseil.

Privilégier une approche comportementale !

Les recruteurs sont de plus en plus attentifs aux compétences comportementales. Savoir communiquer sur votre travail est indispensable pour valoriser vos réalisations personnelles et souligner la plus-value que vous apportez sur un dossier. Il faut pouvoir conduire vos activités indépendamment des interlocuteurs, des situations, des conditions imposées et présenter des soft skills nécessaires à vos développements.

Un employé qui maîtrise parfaitement ses humeurs se forgera rapidement une bonne réputation au sein de la société. Pour le bien-être des employés, il est pourtant indispensable de considérer avec bienveillance les opinions de chacun.

Les entreprises recherchent donc des potentiels capables d’interagir avec le monde extérieur présentant des qualités comportementales certaines en plus de leur savoir-faire.

Soft skills : Un recrutement plus humain

Les compétences comportementales, ou tout ce qui différencie un humain d’un robot, sont devenues centrales dans les recherches des employeurs. Un recruteur se retrouve généralement devant des profils qui possèdent les mêmes compétences techniques. Les soft skills ont pour fonction de faciliter le recrutement. Pour faire le bon choix, il est important tout d’abord de former les managers et responsables des ressources humaines sur l’importance des soft skills.

Définir la personnalité d’un futur collaborateur et enquêter sur son comportement, est devenu incontournable pour améliorer et fiabiliser ses recrutements. Le recruteur a également la possibilité de faire passer un test d’intelligence émotionnelle aux postulants.

Pour conclure, si certains possèdent naturellement un ou plusieurs soft skills recherchés, d’autres doivent travailler davantage pour développer ces aptitudes qui peuvent faire la différence sur le terrain. Lors de votre entretien d’embauche, pensez à mettre en avant vos meilleures qualités personnelles, humaines et relationnelles. C’est ainsi que le recruteur pourra vérifier votre capacité d’adaptation, votre réaction en situation de crise et toutes les autres raisons pour lesquelles il peut vous faire confiance.

En bref les soft skills sont un atout pour évoluer !

 

 



Roeya ZOUARI

Rédactrice WEB

 

Les erreurs à éviter dans un email professionnel !

À l’ère des réseaux sociaux, l’écrit fera votre différence. L’écriture en contexte de travail nécessite de toujours respecter un certain nombre de convenances « les codes de communication écrite » que l’on retrouve dans de nombreux écrits professionnels, y compris les emails.

Rédiger un mail professionnel, tout le monde sait le faire ! Et pourtant, entre les fautes d’orthographe, les objets approximatifs, les mauvaises formules de politesse, de nombreuses erreurs ponctuent nos correspondances. Pour éviter les faux-pas et faire passer le bon message à coup sûr, quelles sont les bourdes les plus courantes en matière de mail professionnel ?

Les mails « bloc »

Vous pouvez configurer la longueur des lignes de vos mails sur votre ordinateur. C’est une bonne idée car les lignes trop longues fatiguent l’œil. Pour faciliter cette lecture, il faut la rendre agréable. Cela passe par l’aération du texte, les sauts de lignes, la concision de son information, etc.

Pour donner du confort à son lecteur et mettre l’accent sur les informations importantes, on peut aussi jouer sur le gras ou la majuscule. Attention toutefois à ne pas en abuser !

Bâcler l’objet du message

Il s’agit ici d’une erreur fréquente. L’objet d’un mail professionnel doit rester concis mais explicite. Pour vous faire remarquer : choisissez un ou deux mots-clés incitatifs et informatifs. Evitez les mots de liaisons et les articles. Votre destinataire doit comprendre immédiatement de quoi il s’agit, sans avoir à ouvrir le contenu de votre mail.

  • Objet oublié

Un mail professionnel sans objet clair a toutes les chances de ne pas être lu.

Abuser du répondre à tous

Si cette option est utile pour les échanges de groupe, elle peut également être hautement agaçante quand votre réponse ne concerne pas tous les destinataires. Pour éviter les abus : demandez aux destinataires de répondre sous la forme d’un « Message privé »

Négliger les salutations

La politesse ne sera jamais chose du passé ! Un petit Bonjour en début de courriel, un merci ou bonne journée, ça ne coûte pas grand-chose et ça fait toute la différence.

Ne pas maîtriser le champ « Cci »

Que ce soit à ses clients ou à son carnet d’adresses tout entier, tout le monde envoie des mails collectifs. La fonction CC place un destinataire en copie conforme et tous les dentinaires peuvent voir qui est en CC. Par contre, les destinataires en CCi sont gardés secrets, à privilégier pour les contacts qui ne veulent pas qu’on publie leur adresse partout.

Être trop familier

Pour éviter d’adresser un e-mail signé « à plus » ou « bisous » à votre boss, là encore, une relecture avant de cliquer sur « envoyer » s’impose.

Absence de la signature

La signature d’un mail professionnel est importante. Elle habille votre mail et doit être esthétique. En effet, elle doit comprendre l’ensemble des informations nécessaires à votre interlocuteur pour pouvoir vous recontacter sur différents canaux, en fonction de votre métier, numéro de téléphone, adresse postale…

Les fautes d’orthographe et les erreurs de formulation les plus fréquentes dans nos messages électroniques

Rien de plus désagréable pour votre interlocuteur que de lire un e-mail rempli de fautes d’orthographe. Malheureusement, ce type de bévue peut avoir de fâcheuses conséquences dans votre vie professionnelle.

Voici quelques expressions très courantes :

  • La formule « Je vous prie d’agréer, …, l’expression de mes meilleurs salutations» est très utilisée. Mais, concrètement, on exprime des sentiments et non des salutations. Donc à éviter.
  • « Merci de me répondre », « merci d’avance » : Toutes ces formules sont très cavalières. On ne remercie pas quelqu’un d’avance mais on le remercie pour des choses qui ont été faites.
  • Je « transfert » : On confond souvent le nom commun « transfert » et le verbe du 1er groupe « transférer », qui se construit pour sa part avec un « e » à la première personne du singulier. Pour être correct, on doit écrire : « Je transfère ».
  • « Je reviens vers vous » La formule est correcte mais il faut que celle-ci soit suivie d‘une formulation concrète : « Je reviens vers vous d’ici (une date précise) »
  • Comme convenu / comme convenue: Même apposé à un nom féminin, « comme convenu » est toujours invariable et ne prend jamais de « e ».
  • Entretien / entretient: Il ne faut pas confondre le nom et le verbe. Le nom « entretien » sans « t » décrit un échange ou un « entretien d’embauche ». Le verbe conjugué à la troisième personne du singulier « entretient » est utilisé lorsqu’il s’agit de faire l’action d’entretenir quelque chose.
  • Parmi / parmis: Attention à ne pas être induit en erreur par le mot « hormis » qui finit lui par un « s ». On n’écrit jamais « parmi » avec un « s ». C’est une préposition et il est invariable.

La dernière étape, relisez-vous, vérifiez que vous avez correctement ajouté tous les destinataires, votre objet et votre pièce jointe.

Votre mail professionnel est prêt à être envoyé !

 

 



Roeya ZOUARI

Rédactrice WEB

 

Maîtriser l’art du Storytelling pour se présenter !

L’être humain adore les histoires. Il faut bien dissocier l’intelligence émotionnelle et les coïncidences que la vie nous présente. Cependant il est très clair que les êtres humains aiment se fabriquer des histoires. C’est ce qui leur permet de faire tenir tout en place dans leur tête.

Depuis la nuit des temps, l’utilisation du storytelling permet de nous transporter et nous convaincre sur différents sujets. Ces sujets qui sont très divers, peuvent être commerciaux, marketing, religieux, politique et autres. Le storytelling favorise une meilleure adhésion à une marque, un produit, une entreprise.

Le storytelling s’applique à toutes les structures qu’elles soient grandes ou petites. Utiliser le storytelling est donc applicable au B2B qui n’est pas un secteur à part. Toute industrie et entreprise a une histoire à raconter qui suscite l’émotion et qui par conséquent bénéficie à son image de marque.

Voyons donc ensemble qu’est-ce que le storytelling et comment il peut s’appliquer dans votre entreprise ?

  • Le « storytelling », c’est quoi ?

Souvent traduit en Français par « communication narrative », le storytelling est un levier de communication orale, le plus utilisé et le plus vieux, qui se traduit concrètement par un récit que le narrateur utilise comme vecteur de messages.

C’est l’art de raconter une histoire.

Selon Henrique Carvalho, auteur de Vivre de Blog, « une bonne histoire est une histoire authentique, qui fait la connexion émotionnelle et personnelle, qui inspire à agir et qui amène le public vers un chemin de changement et de transformation ».

Quels sont les secrets d’un storytelling réussi ?

  • Renforcer votre crédibilité

C’est important de bien préparer votre story avant de la diffuser. Elle devra être crédible, cohérente et en adéquation avec les attentes et l’environnement de votre cible.

Attention à ne pas créer un récit mensonger afin de ne pas perdre la confiance de vos lecteurs qui seront plus touchés par des histoires vraies, humaines et de proximité. Cela pourrait remettre en question l’authenticité de votre marque et entreprise.

Le succès d’une marque repose sur son histoire. Elle est fondamentale pour ses stratégies marketing, le développement de ses produits, le recrutement de ses ressources humaines et bien plus.

  • Connaître votre public cible

Le storytelling peut se présenter sous plusieurs formes, un texte, une image, une BD, une vidéo, etc… Il suffit simplement de connaître votre public cible. Le storytelling a pour but de capter l’attention, de faire passer un message à une cible en suscitant de l’émotion. Vous devez raconter des histoires axées sur les centres d’intérêt de vos consommateurs afin de stimuler leur engagement. Qu’il soit tiré d’une histoire vraie ou simplement d’une légende, un récit permet d’amener l’image d’une marque ou un produit vers plus de proximité avec sa cible et de lui offrir de la valeur ajoutée.

  • L’authenticité du storytelling

Votre récit est authentique, il a touché vos clients, ils ne manqueront pas de le partager avec enthousiasme. Nul besoin d’investir dans des campagnes coûteuses, le bouche-à-oreille est d’une efficacité surprenante et génère un fort sentiment de loyauté à votre marque.

La puissance du « story telling » est indéniable. Dans le livre de Robert Cialdini intitulé « Influence : The psychology of persuasion », l’auteur parle abondamment des 6 principes de l’influence. Ils sont la réciprocité, l’engagement, la preuve sociale, l’autorité, l’amour et la rareté » Même si ce livre date de 1984, il est encore aujourd’hui d’actualité, adapté au marketing numérique et à la création de contenu.

Storytelling et réseaux sociaux

A l’ère du selfie et comme dans toutes les sphères de la communication, l’image demeure toujours le moyen le plus efficace. Que ce soit par la vidéo, le GIF animé, des “stories” sur Instagram, Facebook ou Snapchat ou dans une présentation PowerPoint, l’image vaut mille mots et vous permettra de raconter de façon brève et efficace. Les réseaux sociaux, qui représentent une combinaison de plateformes dans lesquelles les consommateurs naviguent, sont un outil fantastique pour toucher votre cible et améliorer votre visibilité.

Des exemples

Coca-Cola base sa communication sur la diffusion du bonheur à chaque gorgée. La marque prône l’optimisme et la convivialité et décline même son storytelling sur la période de Noël.

Les marques d’Adidas et O’Tacos utilisent leur vécues pour parler de leur marque. L’objectif principal est de ne pas mettre en avant un produit, mais la marque.

Conclusion

La pratique du storytelling doit vous permettre de convaincre votre public : Elle rend votre entreprise plus réelle, plus expressive et plus vivante. Plus vos histoires évoqueront des désirs et créeront des envies chez votre auditoire, plus celui-ci sera réceptif.

Les gens vous reconnaitront pour votre histoire. Ils sauront identifier plus clairement ce que vos produits et services peuvent leur apporter.

C’est l’importance d’utiliser le storytelling pour se présenter !

 

 



Roeya ZOUARI

Rédactrice WEB

 

Comment apprendre la bonne manière de parler en public ?

Prendre la parole devant une audience peut intimider, perturber, angoisser et donc faire perdre tous ses moyens. Etre à l’aise à l’oral est loin d’être inné. C’est pourtant une qualité essentielle pour réussir en tant que chef d’entreprise.

S’exprimer en public, c’est un talent qui s’apprend : « La parole n’a pas été donnée à l’homme, il l’a prise » Louis Aragon.

Parler en public, un soft skill qui s’apprend par la pratique et l’entraînement. Chacun d’entre nous a de la voix, il suffit d’en découvrir les mécanismes.

Vous avez envie d’exprimer clairement, avec aisance et naturel vos idées, vos points de vue en toutes circonstances, de façon agréable pour votre auditoire afin d’être écouté et faire passer les bons messages.

Mettre un peu de soi dans le discours s’avère être un puissant levier d’attraction, d’authenticité et de sincérité. Oui, mais comment ?

Avec les techniques théâtrales qui ont pour objectif de développer l’aisance relationnelle et la confiance en soi :

  • Être plus authentique face à un public.
  • Développer sa présence.
  • Gérer son stress.
  • Augmenter son impact.
  • Communiquer mieux.
  • Accéder au plaisir de prendre la parole.
  • Développer son savoir-être et dynamiser sa créativité
  • Découvrir ses aptitudes relationnelles et apprendre à les exploiter.

Adopter les techniques théâtrales : Une bonne méthode pour bien gérer le trac

Qu’il s’agisse de timidité, d’angoisse ou de manque de confiance en soi, nombreuses sont les  personnes qui ont besoin d’un accompagnement professionnel pour dépasser ce cap psychologique et comportemental. Dans le monde de la formation, on appelle ça l’art oratoire.

Le trac disparaît progressivement généralement au cours de votre présentation mais il peut provoquer des trous de mémoires. Pour réduire le trac avant chaque présentation, vous devez maîtriser votre sujet, vous familiariser avec le lieu, le public et les autres intervenants.

Et comme une prise de parole en public représente un véritable défi, il faut :

  • Vous préparer à l’avance

C’est la phase la plus importante. Préparer son speech dans les moindres détails, anticiper, répondre à toutes les éventuelles questions qui peuvent être posées et y trouver des réponses pour ne pas être pris au dépourvu. S’imprégner des lieux et de ses contraintes. (Placement du public, grandeur de la salle, espace accordé, s’assurer que tout le monde peut vous voir…)

  • Créez des liens de sympathie

S’exprimer en public doit être un moment d’échange agréable entre votre auditoire et vous. Comme lorsque vous communiquez avec vos amis. L’erreur serait de vous prendre trop au sérieux. Préparez-vous à vous amuser tout en partageant votre message. Créez des liens de sympathie en discutant avec le public. Laissez votre gestuelle parler pour vous J

  • Entraînez-vous devant un miroir et jouer le rôle de l’entrepreneur éloquent

Le regard des autres est une des causes qui nous bloquent lors de notre prise de parole en public. Lorsque nous ne sommes pas à l’aise avec notre corps ou notre image, nous générons des pensées dévalorisantes. Le fait de s’exercer devant un miroir, vous permet de mieux apprécier votre image et également de vous améliorer plus efficacement. D’ailleurs, dans les clubs de danse ou de théâtre, beaucoup de comédiens et d’étudiants s’exercent face à un miroir pour cette même raison.

  • Partagez votre passion avec vos amis

Imaginez que vous êtes sur une scène de théâtre ! C’est important pour vous d’utiliser un espace dans lequel vous pouvez vous exprimer en toute confiance, en famille, entre amis ou entre entrepreneurs bienveillants. Choisissez d’intervenir sur un point qui vous passionne ou encore sur un point qui les intéresse. Vous devrez faire un petit travail de préparation pour qu’ils apprécient la valeur ajoutée que vous leur apporterez.

  • Répétez les points importants de votre discours

Il faut répéter les mots-clés de son speech pour marquer les esprits et assoir son idée. Il est important que votre auditoire retienne l’essence même de votre discours.

Le rôle du coaching :

Ce coaching collectif de prise de parole en public s’adresse à toutes celles et tous ceux qui souhaitent améliorer leur expression orale, quel que soit leur secteur d’activité ou leur situation (commercial, étudiant, journaliste, juriste, avocat, comptable, manager, chargé de clientèle, en recherche d’emploi…).

Le coaching collectif va vous permettre d’obtenir rapidement les clés d’une plus grande éloquence. Vous allez maîtriser votre expression orale et serez en mesure de présenter des prises de parole à la hauteur de vos espérances.

Conclusion

L’éloquence n’est pas une question de talent, ni un don inné. Ça s’apprend et surtout ça se travaille. Sénèque a dit : « le discours est le visage de l’âme ».

Une formation de « Public speaking » proposée par Advyteam Academy vous apprend les techniques des professionnels et vous entraîne pour que vous retrouviez du plaisir dans l’expression et de l’aisance dans vos communications. Vous saurez alors faire entendre vos idées, valoir vos talents et dépasser votre timidité.

Profitez de vos capacités en communication et défendez votre cause, devenez l’orateur unique et inspirant que vous souhaitez être, et contribuez, d’une manière courageuse et généreuse, à la construction de votre parcours par le dialogue.

 

 



Roeya ZOUARI

Rédactrice WEB

 

Management émotionnel : une nouvelle forme de compétence !

La clé d’un bon management, aujourd’hui, repose sur la capacité du chef d’entreprise à connaître et à maîtriser ses propres forces et faiblesses émotionnelles. « L’émotion est une certaine façon d’appréhender le monde » disait Sartre en 1938.

Tous les managers recherchent l’efficacité, l’amélioration de la productivité par l’adaptation permanente des collaborateurs : apprentissage de nouvelles méthodes de travail, de nouveaux comportements dans le travail, etc.

Le management émotionnel : développez cette capacité mentale !

Qu’est-ce que le management émotionnel ?

Les futurologues et experts en prospective placent le management émotionnel comme compétence majeure à l’horizon 2020, il se caractérise par l’écoute et l’empathie que les managers manifestent vis-à-vis des collaborateurs. C’est la faculté du manager à identifier et intégrer ses émotions et celles d’autrui dans sa prise de décision.

Le management émotionnel aurait un impact positif sur la performance au travail, et le bien-être des collaborateurs. Il s’agit de gérer une équipe en utilisant les émotions d’une manière adéquate, adaptée et efficace.

« Les managers qui réussissent ne sont pas forcément ceux qui sont les plus intelligents ou les plus créatifs, mais ceux qui suscitent l’adhésion par leurs émotions et par leur force de conviction qui leur permettent de développer la confiance et la motivation de leurs équipes », Arnaud Hautesserres, directeur des opérations du cabinet de conseil en management Meltis.

Quels effets sur les collaborateurs ?

Ces dernières années, de nombreuses études scientifiques ont révélé qu’un manager au quotient émotionnel élevé a plus confiance en lui, prend de meilleures décisions, est capable de mieux gérer son stress et ses angoisses et est moins sujet au burn out.

Cet état influe sur notre perception de la réalité et donc sur notre façon de nous comporter.
Lorsque nos états motivationnels changent, nos priorités d’actions changent également : c’est la flexibilité motivationnelle.

Quand la confiance, la loyauté et la créativité sont élevées et le niveau de stress bas, les employés sont plus heureux, plus productifs. Et par leur effet bénéfique sur la santé des employés, les interactions positives contribuent même à faire baisser le nombre de jours de congé maladie. D’autres études ont montré comment un management de compassion permet d’améliorer la qualité du service client, les résultats pour les consommateurs et leur satisfaction.

Percevoir les émotions, les comprendre, les réguler chez soi et chez les autres et les intégrer dans le mode de fonctionnement de l’entreprise, c’est rentrer dans la dimension de l’intelligence émotionnelle.

L’intelligence émotionnelle : son importance au travail

C’est en 1990, qu’apparaît le vocable « intelligence émotionnelle ». Depuis sa découverte, l’intelligence émotionnelle est devenue une compétence de plus en plus recherchée en entreprise.

Il apparaît que les managers doués de cette intelligence sont dotés d’un pouvoir extraordinaire qui leur permet d’exceller dans leur métier, tout en conservant un équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle et de favoriser l’épanouissement personnel et collectif et la performance managériale.

Plusieurs études montrent qu’il vaut mieux faire preuve de compassion envers un salarié fautif, plutôt que de laisser éclater sa colère.

Par exemple, si une équipe rate une présentation, son chef doit résister à la tentation de crier. Il doit au contraire réfléchir aux raisons possibles de cet échec, expliquer les conséquences aux membres de son équipe et rechercher des solutions avec eux. Nos actions et comportements sont conditionnés par l’état présent de nos motivations et de nos émotions.

Les différentes tendances de management, libéré, émotionnel, et autres, qui se développent aujourd’hui, sont le fruit de la confrontation positive entre les managers actuels, et l’intégration des générations Y et maintenant Z, sur le marché du travail, pour arriver à travailler ensemble : les uns apportant leur expertise, les autres apportant leurs idées, leur légèreté, et leur sensibilité, à une génération qui en manque depuis longtemps.

Enfin, les compétences sociales consistent à établir une relation avec les autres pour les faire avancer dans la direction souhaitée.

 

 



Roeya ZOUARI

Rédactrice WEB

 

Quand le look vestimentaire impacte l’image de marque de l’entreprise !

Dans le monde professionnel, les entreprises IT commencent à s’intéresser sérieusement à la mode, pour se démarquer de la concurrence, que ce soit au niveau des prestations fournies qu’au niveau de l’image même de l’entreprise : une nouvelle culture d’être professionnel de la tête au pied.

Pour faire la promotion de leur image de marque, certaines entreprises adoptent un style vestimentaire propre à elles. Jouer sur la coupe, sur les couleurs, peut permettre d’exprimer sa personnalité, son style (classique, casual, funny etc), tout en respectant les codes implicites de l’entreprise. C’est le Dress code.

L’uniforme professionnel et la tenue classique des employés constituent une véritable valeur ajoutée pour une entreprise.

Adopter le Casual Friday

Aux Etats-Unis, de nombreuses entreprises ont adopté le « Casual Friday », une certaine relâche dans la tenue professionnelle s’est institutionnalisée le vendredi. Une sorte de soupape offerte aux employés, pour leur donner un peu plus de latitude à exprimer leur choix d’habillement et les encouragent à être plus cool.

Le look vestimentaire des personnes à succès

Prenons l’exemple de Mark Zuckerburg, le créateur de Facebook, l’homme qui porte tous les jours un t-shirt gris et un jeans, a définitivement dévoilé qu’il le faisait exprès. « Je veux que ma vie soit la plus rangée de manière à devoir prendre le moins de décisions possibles au sujet de quoi que ce soit. La seule chose qui m’intéresse est de servir au mieux ma communauté d’utilisateurs », précise Zuckerberg.

Barack Obama, l’ancien président des Etats-Unis, le réalisateur Christopher Nolan, le créateur de mode Michael Kors ont adopté la même attitude. Tous les jours, ils portent les mêmes couleurs de vêtements, une sorte d’uniforme qui est devenu leur marque de fabrique.

Dans la masse des geeks à capuche de la Silicon Valley, certaines pionnières se distinguent en affirmant leur féminité. Une manière de faire avancer la parité dans une industrie encore réputée pour son sexisme. Elizabeth Holmes, la créatrice de Theranos, start-up spécialisée dans les tests sanguins, souvent surnommée « l’étoile montante de la Silicon Valley », a imposé le col roulé noir.

À une soixantaine de kilomètres au sud de la baie de San Francisco, le climat est capricieux, et on ne s’habille pas chic, on s’habille pratique : denim, vêtements techniques et chaussures confortables. On est loin de l’image cultivée par les stars féminines les plus visibles de l’industrie numérique. Marissa Mayer, première femme ingénieure de Google, a défrayé la chronique en posant pour Vogue, en 2013, allongée sur une chaise longue et vêtue d’une robe bleue ultra-glamour. Surnommée «la PDG du style» pour ses apparitions remarquées en Oscar de la Renta et en d’autres tenues de créateurs connus, elle était à l’époque à la tête de Yahoo !

Ainsi, lors de la conférence annuelle des développeurs d’Apple de 2016, Bozoma Saint John, chargée du marketing d’Apple Music, a pulvérisé l’image de l’intervenant habituel d’un tel exercice. Avec ses tenues raffinées, ses couleurs vives, ses talons hauts, cette nouvelle star de la Silicon Valley, désormais responsable de la marque Uber, continue de changer l’image des geeks et des femmes de la tech en enflammant les tapis rouges.

La tenue reflète une culture d’entreprise, une tenue bien choisie pour les employés suscite un respect mutuel entre le public et l’entreprise.

 

 



Roeya ZOUARI

Rédactrice WEB